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La Semaine de l'évaluation du développement 2024 de la BAD : Naviguer les mers agitées vers un horizon meilleur pour l’Afrique

Quoi?  Semaine de l’évaluation du développement 2024 de la BAD 2024  

Qui ?    Banque africaine de développement, évaluateurs, experts en développement, décideurs politiques, chercheurs, société civile, organisations non gouvernementales, partenaires de développement, réseaux d'évaluation, représentants des secteurs public et privé et médias.

Quand?             17-19 septembre 2024

Où?                    Hybride : en personne à Abidjan, en Côte d’Ivoire, et en ligne via Zoom

Comment me tenir au courant des sessions au fil de l’organisation ?

Toutes les informations seront partagées sur la page de l’événement sur le site web idev et sur les réseaux sociaux #EvalWeek#2024

Ayant pour thème « Naviguer les mers agitées vers un horizon meilleur pour l'Afrique », l'objectif principal de la Semaine de l'évaluation 2024 de la BAD s'aligne sur la nouvelle stratégie décennale de la Banque (2024-2033) visant à accélérer la croissance verte inclusive et à promouvoir des économies prospères et résilientes en Afrique, pour un continent prospère, inclusif, résilient et intégré. Les connaissances évaluatives joueront un rôle crucial pour soutenir cette vision en fournissant des données probantes permettant de relever les défis, de promouvoir et de suivre les progrès, d’améliorer la redevabilité, de faciliter l’apprentissage et l’adaptation, d’orienter l’allocation des ressources et de favoriser l’engagement des parties prenantes.

L'événement permettra aux participants de discuter de la manière dont la production et l'utilisation de connaissances évaluatives peuvent contribuer à libérer le potentiel économique, social et environnemental de l'Afrique tout en mettant l'accent sur l'inclusivité.

Cette 6ème édition de la Semaine de l'évaluation réfléchira également à l'impact significatif de la Banque au cours de ses 60 ans d'histoire, en soulignant les succès dans l'exploitation des connaissances évaluatives et les enseignements clés pour le développement de l'Afrique.

Nous comptons sur votre participation!

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Tirer parti de l’intégrité : capitaliser sur les mesures anticorruption en Afrique

Quoi ?          Séminaire sur la lutte contre la corruption et l’intégrité

Quand ?     Mardi 24 septembre 2024, de 9h à 12h30 GMT

Où ?              Salle 02S01-02-03, bureaux de la Banque africaine de développement dans l’immeuble du CCIA à Abidjan, et

                       sur le lien Zoom

Le Département de la gouvernance et des réformes économiques (ECGF) de la Banque africaine de développement organise, le 24 septembre 2024, en présentiel à Abidjan ainsi qu’en visioconférence, un séminaire sur le thème suivant : « Les bénéfices de l’intégrité : capitaliser sur les mesures anticorruptions en Afrique ».

Le séminaire vise à présenter les réussites et défis uniques des pays africains en matière de lutte contre la corruption, tout en démontrant que cette lutte est non seulement cruciale pour des raisons morales et éthiques, mais qu’elle offre aussi des retombées économiques significatives.

Pourquoi participer ?

Le séminaire permettra de mieux comprendre et de mieux connaître les défis spécifiques auxquels sont confrontés les pays africains dans la lutte contre la corruption et les stratégies efficaces pour y faire face. Il sera l’occasion d’échanger avec des experts sur les avantages économiques des mesures anticorruption et sur la manière dont celles-ci peuvent stimuler directement la situation économique et financière des pays grâce au recouvrement d’actifs et à la promotion d’investissements et d’engagements accrus en faveur du développement du continent.

À qui s’adresse le séminaire ?

Le séminaire est destiné au personnel du Groupe de la Banque africaine de développement, aux consultants, aux pays membres régionaux, aux décideurs, aux responsables gouvernementaux, aux organisations de la société civile et à toutes les parties prenantes intéressées par la lutte contre la corruption en Afrique.

Veuillez cliquer ici pour vous inscrire préalablement afin de participer en ligne à ce séminaire.

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Libérer le potentiel de la Jeunesse Africaine en vue de promouvoir la prospérité sur le Continent

 

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Quoi ?      Plateforme de la Communauté de pratique des jeunes (Y-COP) du Groupe de la Banque africaine de développement - Dialogue de politique sur le thème suivant : « Atteindre la souveraineté alimentaire grâce à une agriculture intelligente sous l’impulsion des jeunes »

Qui ?        Le Groupe de la Banque africaine de développement

Où :          Rencontre en ligne

Quand ?  Région occidentale : mardi 24 septembre 2024, de 13 h à 16 h (GMT)  

                Région orientale : mercredi 25 septembre 2024, de 9 h à 12 h (GMT) 

*Il s’agit d’une rencontre unique offerte à deux heures différentes pour permettre au plus grand nombre de personnes, quelle que soit leur zone horaire, d’y participer. Chacun pourra choisir la séance qui lui convient le mieux.

Ce dialogue, organisé dans le cadre de la Communauté de pratique des jeunes (Y-COP), réunira des organisations de jeunes, des experts et des entrepreneurs spécialisés dans l’agriculture innovante afin de discuter de stratégies efficaces pour inciter la jeunesse africaine à s’engager dans l’agriculture intelligente.

Cet échange, centré sur les solutions, aura pour objet d’explorer diverses stratégies efficaces permettant d’attirer les jeunes Africains vers l’agriculture et les encourager à voir l'agriculture non seulement comme une activité destinée à produire des moyens de subsistance, mais aussi comme un métier, une activité professionnelle viable et gratifiante. 

Les principaux sujets qui seront traités sont les suivants : 

  • Transformer l’Afrique en un continent auto-suffisant.
  • Attirer les jeunes vers l’agriculture grâce à des pratiques agricoles intelligentes et climato-intelligentes.
  • Tirer parti des solutions numériques et des technologies de l’information et de la communication (TIC) pour améliorer la productivité et l’efficacité dans le domaine agricole.
  • Améliorer l’accès aux ressources, à la finance climatique et aux options de financement durable.
  • Créer des politiques et des environnements propices au développement agricole durable.
  • Mettre en place des systèmes alimentaires résilients et efficaces.
  • Promouvoir une croissance verte inclusive et un développement durable.

Intervenants :          

  • Panel de discussion rassemblant de jeunes figures marquantes – restez à l'écoute !

Cliquez ici pour vous inscrire et confirmer votre présence.

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La deuxième édition du Forum de la Banque africaine de développement sur les transports (ATF) aura lieu les 18 et 19 septembre 2024, à Abidjan, en Côte d'Ivoire sous le thème suivant : « L'Afrique en mouvement - Accélérer la connectivité des transports et de la logistique durables ».

  • Thème : L'Afrique en mouvement - Accélérer la connectivité des transports et de la logistique durables
  • Dates : 18-19 septembre 2024
  • Lieu : Abidjan, Côte d'Ivoire

Ce forum de deux jours réunira des dirigeants et des experts du secteur des transports pour des discussions de groupe et des présentations de haut niveau. L'événement vise à partager les expériences et les meilleures pratiques, à présenter des projets et à mettre en évidence les défis émergents dans le domaine des transports en Afrique.

Jour 1 :

  • Consolidation des diagnostics des parties prenantes dans les différents sous-secteurs du transport.
  • Examen des liens logistiques clés dans le commerce africain.

Jour 2 :

  • Exploration de solutions de transport durables pour améliorer la résilience et l'indépendance.
  • Discussions sur l'optimisation de la gestion des actifs, l'entretien des infrastructures, le recouvrement des coûts et l'accès aux financements aux niveaux national et infranational.

La population de l'Afrique devrait doubler pour atteindre 2,5 milliards d'habitants d'ici 2050, et la production économique du continent devrait tripler d'ici 2040. Cette croissance, ainsi que l'urbanisation, l'industrialisation et le commerce international accrus, augmenteront considérablement les besoins en matière de transport aux niveaux urbain, rural et régional.

Selon le Programme pour le développement des infrastructures en Afrique (PIDA), les infrastructures et les services de transport devront répondre à un trafic multiplié par 6 à 8, avec des demandes encore plus importantes dans les pays enclavés.

La Banque africaine de développement considère le secteur des transports comme crucial pour la promotion d'une croissance et d'une prospérité inclusives en collaboration avec ses pays membres régionaux. En tant que principal moteur de développement de l'Afrique, la Banque vise non seulement à financer des projets, mais aussi à promouvoir le partage des connaissances, à faciliter la mise en réseau des décideurs et des parties prenantes, et à façonner les politiques futures dans le secteur des transports en Afrique.

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Réservez cette date

Combler les écarts : Faire progresser l’éducation dans les environnements à faibles ressources

Quoi :             Séminaire en ligne sur le thème « Faire progresser l’éducation dans les environnements à faibles ressources »

Quand :          29 août 2024, 15h00 - 17h00 GMT

:                 Mode virtuel 

                        https://afdb.zoom.us/webinar/register/WN_EXIbc-R1QkaV9LmnIEuPCQ

L’Institut africain de développement du Groupe de la Banque africaine de développement organise un séminaire en ligne sur le thème « Combler les écarts : Faire progresser l’éducation dans les environnements à faibles ressources » le 29 août 2024. 

Ce webinaire qui constitue la troisième session de la série Perspectives de pointe sur l’apprentissage (LEI) de l’Institut, examinera les défis posés par les environnements à faible bande passante et à faible disponibilité d’énergie. 

M. Paul Kim, doyen associé et directeur de la technologie à l’École d’éducation de l’Université de Stanford présentera ses idées sur la question et discutera de solutions innovantes pour les environnements d’apprentissage suivant une perspective mobile et sociale adaptée aux besoins uniques de l’Afrique.

Le webinaire mettra également en lumière le rôle du  Laboratoire d’innovation et d’entrepreneuriat de la Banque africaine de développement dans l’accélération de l’investissement au bénéfice de la jeunesse africaine, ainsi que l’Académie virtuelle de développement des capacités (VCDA) et les améliorations qui y seront apportées.

L’Institut africain de développement continue d’étudier les plateformes d’apprentissage en tant que catalyseurs du développement de l’Afrique.

Pourquoi participer ?  - Points saillants :

  • Conversation spéciale avec M. Paul Kim, doyen associé et directeur de la technologie à l’École d’éducation de l’Université de Stanford, sur les environnements d’apprentissage axés sur une perspective mobile et sociale en Afrique.
  • Présentation de la plateforme VCDA 1.0 et de ses améliorations à venir, en explorant notamment les stratégies de développement des capacités dans les pays membres régionaux de la Banque africaine de développement.
  • Présentation du Laboratoire d’innovation et d’entrepreneuriat de la Banque aux fins d’accélérer l’investissement dans la jeunesse africaine.
  •  Explorer l’adaptation des plateformes d’apprentissage en Afrique, en tenant compte de la connectivité, des défis énergétiques et des facteurs environnementaux uniques.
  • Évaluer l’impact et le degré d’intégration de l’IA et des technologies émergentes dans l’amélioration de l’éducation dans les régions mal desservies.
  • Élaborer des stratégies durables pour développer les technologies éducatives dans divers contextes africains.

Qui devrait participer au webinaire ? Ce séminaire en ligne est destiné au personnel de la Banque africaine de développement, aux consultants, aux pays membres régionaux, aux décideurs, aux éducateurs, aux spécialistes de la technologie et à toutes les parties prenantes intéressées par l’utilisation de plateformes d’éducation numérique pour promouvoir le développement durable en Afrique.

Veuillez noter cette date dans vos agendas.

Inscrivez-vous à l’avance pour ce webinaire.

https://afdb.zoom.us/webinar/register/WN_EXIbc-R1QkaV9LmnIEuPCQ

Contact : media@afdb.org

 

 

Intervenant

 

M. Paul Kim

Doyen Associé et Directeur Chargé de la Technologie

Université de Stanford

Paul Kim est doyen associé et directeur chargé de la technologie de la Graduate School of Education de l’université de Stanford, où il dirige des initiatives en matière de conception de technologies d’apprentissage, de recherche en éducation et de développement communautaire.

Avant cela, il a fondé Seeds of Employment, un incubateur académique mondial à but non lucratif qui exploite les technologies mobiles à des fins d’innovation sociale. Sous sa direction et son leadership, les étudiants de premier et deuxième cycles de Stanford ont mené des recherches en matière d’éducation mobile et sociale dans des salles de classe réelles et dans des environnements d’apprentissage virtuels.

M. Kim se consacre également au développement international par le biais de stratégies en matière d’éducation et de technologies de l’information. Il a servi de conseiller sur des initiatives nationales d’éducation en ligne en Arabie saoudite et sur l’évaluation nationale du projet One Laptop Per Child (un ordinateur par enfant) en Uruguay. Il a également siégé à divers conseils et comités consultatifs, notamment à la Banque asiatique de développement, aux Académies nationales des sciences et à la Direction de l’éducation et des ressources humaines de la Fondation nationale des sciences.

PERSONNEL DE LA BANQUE

Kevin Chika Urama

Économiste en chef / Vice-président

Complexe de gouvernance économique et de gestion des connaissances

Groupe de la Banque africaine de développement

Le professeur Kevin Chika Urama est un économiste passionné et axé sur les résultats, qui possède plus de 30 ans d’expérience en matière de politique économique et de gestion des connaissances à l’échelle africaine et mondiale. Il est actuellement Économiste en chef/Vice-président pour le complexe de gouvernance économique et de gestion des connaissances du Groupe de la Banque africaine de développement. Auparavant, le professeur Urama a été directeur principal de l’Institut africain de développement et conseiller principal du président du Groupe de la Banque africaine de développement pour la stratégie, l’élaboration et la mise en œuvre de la croissance inclusive et verte.

Économiste du développement mondialement reconnu, le professeur Urama est membre élu de l’Académie africaine des sciences (AAS), professeur distingué de l’Université du Nigeria Nsukka, professeur adjoint à la Sir Walter Murdoch School of Public Policy and International Affairs, Université Murdoch, Australie occidentale, et professeur honoraire de pratique au University College de Londres. Il a été professeur extraordinaire à l’école de leadership public de l’université de Stellenbosch, en Afrique du Sud, et professeur invité au département des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des politiques publiques du University College de Londres. Il est actuellement membre du Conseil mondial sur les objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, commissaire de la Commission mondiale pour le financement des ODD urbains, membre du comité consultatif de l’Alliance pour la modernisation des systèmes agroalimentaires africains (AMAA), une initiative mondiale de l’American Society of Agricultural and Biological Engineers (ASABE) ; membre du conseil consultatif du programme de croissance compatible avec le climat (CCG) du Foreign Commonwealth and Development Office (FCDO) du Royaume-Uni ; Boursier du CAREED à l’université d’Écosse occidentale - récompensé pour les services rendus à l’activité scientifique en rapport avec le développement économique de l’Afrique ; membre du conseil mondial du Forum économique mondial sur l’avenir de l’air pur, parmi d’autres. 

Avant de rejoindre le Groupe de la Banque africaine de développement, le professeur Urama a occupé divers postes de direction dans le monde universitaire, les organisations internationales et le secteur privé. Il a été le premier directeur général du Quantum Global Research Lab établi à Zug, en Suisse ; directeur exécutif du Réseau d’études sur les politiques technologiques africaines (ATPS) basé à Nairobi, au Kenya ; directeur de la recherche et de la formation de l’ATPS ; chercheur principal au Macaulay Land Use Research Institute à Aberdeen, au Royaume-Uni ; vice-président du Réseau des économistes de l’OMFIF, premier président de la Société africaine d’économie écologique (ASEE), et maître de conférences à l’Université du Nigéria. Le professeur Urama a commencé sa carrière dans la banque commerciale, où il a effectué son service national pour la jeunesse à l’Orient Bank Nigeria Limited, dans l’État d’Anambra.

Le professeur Urama a siégé à divers conseils et comités consultatifs d’organisations internationales et de programmes de recherche mondiaux visant à assurer une croissance verte inclusive et un développement durable. Il s’agit notamment du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), du Green Growth Best Practice (GGBP), de l’International Resource Panel (IRP), de l’équipe de travail de l’OCDE sur la croissance verte et la réduction de la pauvreté, du conseil d’administration de l’UNESCO du centre international de recherche et de formation sur la stratégie de la science et de la technologie (CISTRAT), à Pékin (Chine), et du comité consultatif de la Green Growth Knowledge Platform (GGKP), entre autres. Il fait partie de plusieurs groupes d’experts qui conseillent les dirigeants des secteurs public et privé en Afrique et dans le monde.

Le professeur Urama est titulaire d’un doctorat en économie foncière de l’université de Cambridge (Royaume-Uni), d’une maîtrise en économie foncière de l’université de Cambridge, d’un master en économie agricole de l’université du Nigeria et d’une licence avec mention très bien en économie agricole de l’université du Nigeria. Il a remporté plusieurs prix en tant que meilleur étudiant diplômé en économie agricole à l’université du Nigeria au niveau de la licence et de la maîtrise ; il a remporté le prix James Claydon 2003 pour la meilleure thèse en économie ou dans un domaine connexe, St. Edmond’s College, université de Cambridge ; et il a été nommé cadre technologique de l’année 2012 par les Africa Technology Awards. Le professeur Urama a reçu plusieurs prix et récompenses pour sa contribution à la science et son excellence en matière de leadership et de développement communautaire. En 2001, il s’est vu décerner un titre de chef dans la communauté d’Essodo de la collectivité locale d’Igbo-Eze North, dans l’État d’Enugu.

Eric Kehinde Ogunleye

Directeur par intérim, Institut africain de développement

Chef de division, Division de la gestion des politiques

Groupe de la Banque africaine de développement

Eric K. Ogunleye est actuellement directeur de l’Institut africain de développement. Il était auparavant directeur de la division de la gestion des politiques de l'Institut africain de développement et avait été conseiller du vice-président et économiste en chef de la Banque africaine de développement. Il cumule près de 20 ans d’expérience pratique, concrète et éprouvée en tant que macroéconomiste, économiste du développement, spécialiste du suivi et de l’évaluation, expert en gouvernance publique et en réforme réglementaire, conseiller politique, directeur et gestionnaire de projet.

Son expérience professionnelle couvre tous les domaines de la recherche et du conseil en matière de politiques publiques : développement international, secteur privé, secteur public, institutions non gouvernementales et universités. Auparavant, il a été assistant spécial (commerce international et finances) du président du Nigeria, conseiller spécial du conseiller économique principal du président du Nigeria et conseiller technique (politique et planification) de l’honorable ministre du budget et de la planification nationale au Nigeria. Il a été l’un des principaux membres de l’équipe qui a préparé le plan de relance économique et de croissance du Nigeria. Auparavant, il a travaillé dans des institutions mondiales de premier plan, notamment la CNUCED, l’UNU-WIDER, l’Organisation mondiale du commerce et le Centre africain pour la transformation économique.

Eric est titulaire d’un doctorat en économie de l’Université d’Ibadan, obtenu dans le cadre du prestigieux programme de doctorat collaboratif de l’AERC. Il est également titulaire d’une licence en économie (avec mention très bien).

Namawu Alhassan Alolo

Cheffe de division

Gestion du savoir et des services d’information

Institut africain de développement

Groupe de la Banque africaine de développement

Namawu Alhassan Alolo est une praticienne chevronnée du développement ayant à son actif plus de 18 ans d’expérience internationale dans l’élaboration de stratégies et de politiques institutionnelles, le renforcement des capacités en matière de programmation opérationnelle, la conception et la mise en œuvre de projets de développement, ainsi que dans l’enseignement et la recherche. Titulaire d’un doctorat en politique publique de l’université de Birmingham, elle a dirigé l’élaboration de deux des trois instruments de financement souverain de la Banque, notamment les politiques du Groupe de la Banque sur les opérations d’appui programmatiques (OAP) et le financement basé sur les résultats. L’instrument de financement axé sur les résultats a été le premier, en 30 ans, à être ajouté au menu des options de financement de la Banque pour les opérations souveraines.

Namawu A. Alolo a également joué un rôle central dans l’élaboration et la mise en œuvre de plusieurs initiatives politiques clés et d’approches novatrices pour la Banque, telles que le cadre novateur sur le financement multi-tranches (MTF) - le premier de ce type au cours des 60 années d’opérations de la Banque.

Namawu A. Alolo a fait ses preuves en initiant un dialogue de haut niveau sur les politiques avec divers gouvernements, en œuvrant pour le changement de politique dans une variété de contextes économiques et politiques difficiles et en soutenant des initiatives de développement par le biais d’une conception de projet innovante. En tant que responsable de portefeuille au bureau pays du Soudan, par exemple, elle a coordonné l’ensemble du portefeuille de 21 opérations de prêt et hors prêt représentant près d’un demi-milliard de dollars. 

Elle a dirigé de nombreuses initiatives de développement dans divers pays, allant d’États en transition comme le Soudan et le Liberia à de grandes économies à croissance rapide comme l’Égypte et le Nigeria.  Avant de rejoindre le Groupe de la Banque africaine de développement en 2007, elle a travaillé en tant qu’associée de recherche pour l’Université de Birmingham et a agi en tant que conseillère sur les initiatives anti-corruption pour Transparency International. Elle a mené des recherches approfondies sur les questions de gouvernance pour des organisations internationales, telles que le Conseil international d’étude sur les droits de l’homme et l’ancien ministère britannique des Affaires internationales (DFID).

Ndeye Absa Gningue

En charge de la platforme numérique d'innovation, Banque Africane de Développement

Absa est passionnée de technologie et une entrepreneure en série avec plus de 16 ans d’expérience professionnelle, dont 10 ans dans le secteur privé.

Elle a commencé sa carrière en tant que responsable marketing des logiciels B2B chez IBM pour l’Afrique du Nord, plus a géré le portefeuille d’activités Cloud pour le Moyen-Orient, l’Afrique et la Turquie. Supervisant les opérations dans plus de 70 pays. Elle possède une solide expérience an technologie et a occupé le poste de responsable marketing et communication chez SAMSUNG ELECTRONICS en Afrique de ‘Ouest, acquerant une experience essentielle en ventes et marketing et communication chez SAMSUNG ELECTRONICS en Afrique de ‘Ouest, acquérant une expérience essentiel en ventes et marketing chez PROCTER & GAMBLE, où elle a géré des comptes clés au Nigeria et au Sénégal. Actuellement, Absa est responsable de la plateforme d’innovation, gérant le Laboratoire d’innovation et entrepreneuriat de la Banque, soutenant les organisations de soutien aux entreprises dans le cadre de la stratégie de la Banque pour l’emploi des jeunes en Afrique

Sheila Jagannathan

Ancienne spécialiste en chef mondiale de l’apprentissage numérique

Banque mondiale, Washington, DC

Consultante à la Banque africaine de développement.

Avide depuis toujours de connaissances, Mme Sheila Jagannathan a occupé, pendant 26 ans, le poste de Responsable mondiale du campus d’apprentissage ouvert (Open Learning Campus) de la Banque mondiale à Washington, DC, spécialisé dans l’apprentissage numérique et la technologie dans les pays émergents. Avec plus de 35 ans d’expérience dans le renforcement des capacités, la gestion du savoir et le changement transformationnel dans le monde, Sheila a dirigé la conception et la mise en œuvre de solutions efficaces qui contribuent à l’amélioration des performances et de la productivité.

Son travail couvre l’offre de conseils stratégiques et d’assistance technique dans le cadre des programmes de renforcement des capacités de la Banque mondiale dans diverses régions, notamment l’Asie de l’Est, la région du MENA, l’Afrique et l’Asie du Sud. Un cours en ligne ouvert à tous (CLOT) sur l’avenir du travail, créé sous sa direction, a remporté le prestigieux prix EDX (Harvard/MIT) en 2020. Tous ces éléments soulignent son engagement à traiter des questions essentielles comme la quatrième révolution industrielle, la diversité et l’inclusion, ainsi que les technologies innovantes dans le secteur de l’éducation.

Son ouvrage de référence souligne davantage ses nombreuses contributions dans ce domaine. En effet, l’ouvrage intitulé « Reimagining Digital Learning for Sustainable Development » étudie le rôle que joue l’amélioration des compétences, l’analyse des données et les technologies éducatives dans la réduction du déficit de compétences. Reconnue pour son influence, les idées de Sheila ont alimenté le discours sur l’apprentissage numérique et le développement durable, ce qui lui a valu de siéger aux conseils consultatifs de prestigieuses associations consacrées à l’acquisition de connaissances dans le monde entier. Retenue dans le top 100 des cadres féminines à suivre dans le domaine de la technologie en 2022, Sheila a une vaste expertise et une approche avant-gardiste qui ne cessent de repousser les limites dans les domaines de l’éducation et du renforcement des capacités à l’échelle mondiale.

Agenda

HORAIRE

POINTS DE L’ORDRE DU JOUR

RESPONSABLE

14h50 – 15h00

Arrivée et connexion des participants

Équipe informatique de la BAD

15h00- 15h05

Présentations

Mme Namawu ALHASSAN ALOLO (Modératrice)

Cheffe de division,

Gestion des connaissances et services d’information,

Institut africain de développement (ECAD),

Groupe de la Banque africaine de développement (BAD)

15h05- 15h10

Mot de bienvenue

M. Kevin C. URAMA

Chef économiste et vice-président, Gouvernance économique et gestion des connaissances (ECVP)

BAD 

15h10 – 15h15

Présentation des intervenants

Mme Namawu ALHASSAN ALOLO

15h15 – 15h40

Entretien avec M. Paul Kim sur les plateformes d’apprentissage

M. Paul KIM

Doyen associé et directeur de la technologie, École d’éducation de l’Université de Stanford

 

M. Eric Kehinde OGUNLEYE (Intervieweur)

Directeur (ECAD), BAD

15h40 - 15h50

Présentation de l’Académie virtuelle de développement des capacités (VCDA)

M. Adewale SHOBOYEJO

Technicien de formation (ECAD), BAD

15h50 – 16h05

État des améliorations apportées à la VCDA

Mme Sheila JAGANNATHAN

Spécialiste en apprentissage numérique, 

Ex-responsable mondiale de l’apprentissage numérique à la Banque mondiale,

Consultante auprès de la BAD

16h05 – 16h30

Le laboratoire d’innovation et d’entrepreneuriat de la Banque (Elab)

Mme Ndeye Absa GNINGUE

En charge de la plateforme numérique d'innovation, Banque Africaine de Dévéloppement

16h30 – 16h55

Commentaires, questions et réponses

TOUS LES PARTICIPANTS

16h55 – 17h00

Remarques finales

M. Kevin C. URAMA

Chef économiste et vice-président, BAD

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Quoi?: Série 2:processus de passation des marchés dans le contexte des partenariats public- privé (PPP)

Qui? : Banque africaine de développement, Dentons Canada LLP Toronto

Quand? : Le jeudi 20 juin 2024, de 14h à 16h (GMT, heure d'Abidjan)

La Banque africaine de développement, en association avec le cabinet d’avocats Dentons Canada LLP Toronto, organise le deuxième webinaire d'une série de quatre modules dédiés aux partenariats public-privé (PPP) en 2024 afin de présenter les fondamentaux économiques et juridiques des PPP. Cet événement en ligne se concentrera sur la structuration, la passation des marchés et le financement des transactions en partenariats public-privé pour réaliser des projets d'infrastructure bancables en Afrique.

Les membres du personnel de la Banque, les institutions financières internationales et régionales, les pays membres régionaux, les unités nationales PPP, les autorités contractantes gouvernementales et les décideurs dans la passation des marchés PPP font partie du public cible de cette série de webinaires.

Les discussions porteront sur le cadre juridique et institutionnel pour la passation des marchés PPP, des questions pratiques concernant la passation des marchés PPP, notamment la transparence, l'équité, la confidentialité, la propriété intellectuelle et la responsabilité et la gestion des offres spontanées (« système de bonus », « système de défi suisse » et « système de meilleure et dernière offre »).

S’inscrire ici

 

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Le moteur de la transformation de l'Afrique : La réforme de l'architecture financière mondiale

Assemblées annuelles du Groupe de la Banque africaine de développement, Nairobi (Kenya)

30 Mai 2024

Excellences, Mesdames et Messieurs les délégués, Mesdames et Messieurs. Permettez-moi de m'appuyer sur les protocoles existants.

Cette année, les PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES AFRICAINES 2024 de la Banque africaine de développement sont axées sur le thème : Le moteur de la transformation de l'Afrique : la réforme de l'architecture financière mondiale : Le rapport est composé de trois chapitres interdépendants :

Chapitre 1 : Performances et perspectives macroéconomiques

Chapitre 2 : Bilan de la transformation économique de l'Afrique

Chapitre 3 : Financement de la transformation structurelle en Afrique : La nécessité de réformer l'architecture financière mondiale :

sur les performances et les perspectives macroéconomiques :

Les économies africaines restent résistantes aux multiples chocs, leur croissance moyenne devant se stabiliser à 4,0 % en 2024-25, soit près d'un point de pourcentage de plus que les 3,1 % estimés en 2023.

La croissance moyenne du produit intérieur brut (PIB) réel a ralenti, passant de 4,1 % en 2022 à 3,1 % en 2023 ; elle devrait remonter à 3,7 % en 2024 et atteindre 4,3 % en 2025, lorsque la plupart des effets des vents contraires existants s'estomperont.

Malgré les vents contraires persistants, quinze (15) pays ont enregistré un taux de croissance du PIB réel d'au moins 5 % en 2023, et dix (10) pays d'Afrique devraient figurer parmi les 20 économies à la croissance la plus rapide au monde en 2024.

Bien que trois des plus grandes économies du continent aient enregistré des taux de croissance du PIB réel plus faibles, plus de la moitié (31) des pays africains ont enregistré des taux de croissance du PIB réel plus élevés en 2023 qu'en 2022, 6 d'entre eux - Burkina Faso, Djibouti, eSwatini, Libye, République du Congo et Soudan du Sud - affichant des taux de croissance du PIB réel de plus de 2 points de pourcentage.

L'Afrique restera également la deuxième région à la croissance la plus rapide après l'Asie, en 2024-25, avec une croissance du PIB supérieure à la moyenne mondiale de 3,2 % en 2024.4

 

Prof. Kevin Chika Urama, FAAS

Économiste en chef et vice-président, Groupe de la Banque africaine de développement

Contact: k.urama@afdb.org

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L’ère numérique offre un potentiel illimité de diffusion des connaissances et de renforcement des capacités humaines.

Cet événement, le deuxième de la série Perspectives de pointe sur l’apprentissage, explorera le rôle transformateur des plateformes d’apprentissage numérique dans l’amélioration des compétences, le renforcement des capacités et la facilitation de l’échange de connaissances en Afrique. Ses principaux objectifs tournent autour de l’utilisation de ces plateformes pour stimuler l’innovation dans des méthodes d’apprentissage accessibles et démocratisées, en examinant des solutions numériques évolutives qui peuvent avoir un impact plus large sur le
développement dans les pays membres régionaux.

Les participants prendront connaissance d’études de cas sur des capacités renforcées avec succès ; comment ces plateformes soutiennent l’apprentissage collaboratif, le partage des connaissances, la création de communautés et facilitent la croissance organisationnelle et individuelle.

Rejoignez-nous pour écouter deux éminents experts en développement qui présenteront le pouvoir de transformation des plateformes numériques dans la refonte de l’éducation et du renforcement des capacités en Afrique, ainsi que les défis et les opportunités qui y sont associés.

Christopher Dede, Timothy E. Wirth Professeur en Technologies d’apprentissage à l’Université de Harvard, discutera des innovations dans les technologies d’apprentissage. Sheila Jagannathan, Consultante supérieure à la Banque africaine de développement, figure de proue de la transformation de l’apprentissage numérique et ancienne responsable mondiale de l’apprentissage numérique à la Banque mondiale, partagera sa vaste expérience. Eric Kehinde Ogunleye, Directeur par intérim de l’ECAD, sera le modérateur.

Les discussions porteront sur la manière dont les plateformes d’apprentissage virtuel élargissent non seulement les horizons éducatifs, mais favorisent également le développement des compétences sur le continent en surmontant les barrières géographiques et en créant des réseaux de partage des connaissances. Un accent particulier sera mis sur le rôle des plateformes virtuelles dans l’apprentissage autour des High 5 de la Banque africaine de développement, soulignant l’importance de l’éducation numérique dans la promotion du développement durable, de l’innovation verte, de l’atténuation du changement climatique, et des secteurs cruciaux pour l’avancement de l’Afrique.


 

Conferencires


Sheila Jagannathan
Ancienne spécialiste en chef mondiale de l’apprentissage numérique, Banque mondiale, Washington, DC
Consultante à la Banque africaine de développement.

Avide depuis toujours de connaissances, Mme Sheila Jagannathan a occupé, pendant 26 ans, le poste de Responsable mondiale du campus d’apprentissage ouvert (Open Learning Campus) de la Banque mondiale à Washington, DC, spécialisé dans l’apprentissage numérique et la technologie dans les pays émergents. Avec plus de 35 ans d’expérience
dans le renforcement des capacités, la gestion du savoir et le changement transformationnel dans le monde, Sheila a dirigé la conception et la mise en œuvre de solutions efficaces qui contribuent à l’amélioration des performances et de la productivité. Son travail couvre l’offre de conseils stratégiques et d’assistance technique dans le cadre des programmes de renforcement des capacités de la Banque mondiale dans diverses régions, notamment l’Asie de l’Est, la région du MENA,l’Afrique et l’Asie du Sud.


Chris Dede
Chercheur principal
Université de Harvard

Chris Dede est chercheur principal à la Harvard Graduate School of Education et a été pendant 22 ans titulaire de la chaire Timothy E. Wirth sur les technologies d’apprentissage. Ses domaines d’étude comprennent les technologies émergentes, la politique et le leadership. De 2001 à 2004, il a été président du département de l’enseignement et de l’apprentissage de la HGSE. En 2007, l’université de Harvard lui a décerné le titre d’enseignant exceptionnel et, en 2011, il a été nommé membre de l’American Educational Research Association. En 2023, il a été nommé membre du Consortium pourl’apprentissage en ligne.

 


PERSONNEL DE LA BANQUE
 


Kevin Chika Urama
Économiste en chef / Vice-président
Complexe de gouvernance économique et de gestion des connaissances
Groupe de la Banque africaine de développement

Le professeur Kevin Chika Urama est un économiste passionné et axé sur les résultats, qui possède plus de 30 ans d’expérience en matière de politique économique et de gestion des connaissances à l’échelle africaine et mondiale. Il est actuellement Économiste en chef/Vice-président pour le complexe de gouvernance économique et de gestion des connaissances du Groupe de la Banque africaine de développement. Auparavant, le professeur Urama a été directeur principal de l’Institut africain de développement et conseiller principal du président du Groupe de la Banque africaine de développement pour la stratégie, l’élaboration et la mise en œuvre de la croissance inclusive et verte.


Eric Kehinde Ogunleye
Directeur, Institut africain de développement
Groupe de la Banque africaine de développement

Eric K. Ogunleye est actuellement directeur par intérim de l’Institut africain de développement et chef de division de la division de gestion des politiques de l’Institut africain de développement. Il était auparavant conseiller du Viceprésident/économiste en chef de la Banque africaine de développement. Il cumule près de 20 ans d’expérience pratique, concrète et éprouvée en tant que macroéconomiste, économiste du développement, spécialiste du suivi et de l’évaluation, expert en gouvernance publique et en réforme réglementaire, conseiller politique, directeur et gestionnaire de projet.


Namawu Alhassan Alolo
Cheffe de division
Gestion du savoir et des services d’information
Institut africain de développement

Groupe de la Banque africaine de développement Namawu Alhassan Alolo est une praticienne chevronnée du développement ayant à son actif plus de 18 ans d’expérience internationale dans l’élaboration de stratégies et de politiques institutionnelles, le renforcement des capacités en matière de programmation opérationnelle, la conception et la mise en œuvre deprojets de développement, ainsi que dans l’enseignement et la recherche. Titulaire d’un doctorat en politique publique de l’université de Birmingham, elle a dirigé l’élaboration de deux des trois instruments de financement souverain de la Banque, notamment les politiques du Groupe de la Banque.


 

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Le modèle de développement et de mise en œuvre opérationnelle (DBDM) envisage une Banque transformée qui ancre la conception et la mise en œuvre des opérations sur des connaissances solides et une bonne gouvernance dans les PMR. Dans ce cadre, l’Institut africain de développement (ECAD), dans son rôle de coordination des efforts de renforcement des capacités (CD) de la Banque, a observé une forte demande de CD tant au sein de la Banque que dans les PMR. Cela nécessite de planifier des activités de CD pour améliorer les compétences, les attitudes, les compétences, ainsi que les systèmes, les institutions, les politiques et les pratiques à tous les niveaux et parvenir à une croissance inclusive en Afrique. Avec le mandat de soutenir le renforcement des capacités dans les pays membres régionaux (PMR), la division de l’ECAD chargée de soutenir l’élaboration de programmes sur les PMR (ECAD1) fournit la clinique de renforcement des capacités institutionnelles et fiduciaires (RICF) des ateliers pour améliorer la performance du portefeuille pays dans les PMR.

L’atelier de RICF est conçu pour soutenir la prestation efficace et efficiente des interventions de la Banque, en vue d’avoir un impact sur la durabilité des changements souhaités dans les pays africains grâce à l’amélioration des capacités de gestion des programmes et des projets. Le concept alimente le suivi continu de l’efficacité, car il s’appuie sur les divers exercices de suivi impliquant des projets individuels (supervision, examens à mi-parcours, rapports d’achèvement, etc.). Il s’appuie sur les conclusions des examens des documents de stratégie de portefeuille et de pays (DSP) pour identifier les lacunes de capacité auxquelles sont confrontées les parties prenantes des projets, dont certaines passent inaperçues, en particulier les lacunes de capacité transversales. Les principaux défis pour une mise en œuvre efficace du projet sont principalement une préparation inadéquate du projet entraînant des retards de qualité à l’entrée et de mise en œuvre. Pour relever ces défis, la Banque s’est engagée, entre autres mesures, à améliorer la fréquence des supervisions et à travailler avec le gouvernement pour renforcer les capacités des parties prenantes de la gestion de projets dans des domaines clés tels que l’approvisionnement, les décaissements, la gestion financière, l’intégration de la dimension de genre et le suivi et l’évaluation tout au long du cycle du projet, avec la collecte et la fourniture de données ventilées par sexe et la communication de résultats sexospécifiques en fonction des indicateurs du cadre logique axé sur les résultats.

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